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lundi 8 octobre 2018

La massacre de Thiaroye

Il est novembre 1944, les armées de l’empire colonial français, aussi nommés comme des “tirailleurs sénégalais” de même qu’ils soient provenant des autres colonies différentes du Sénégal, rentrent à Dakar. Ces troupes se sont battu dans le front oriental européen et dans l’afrique du nord ont été prix comme des prisonniers de guerre par “La Werchmat”, une grande parti en 1940 pendant la bataille de La France. Les troupes attendent une récompensation salariale après les ans d’emprisonnement qui ont souffert pendant la guerre. L’armée française promet de payer cette recompensation. La france ne tiendra pas cette promesse, et la tension augmente, les travailleurs sont envoyés à Thiaroye et gardés presque comme des prisonniers. L’armée décide dans les premiers jours de décembre 1955, démontrer qui était le plus puissant. Le 1er décembre 1955 la gendarmerie française ouvre feu contre les tirailleurs sénégalais avec des mitrailleuses. Le bilan final est disputé encore de nos jours, selon les sources officielles, le nombre est de 35 morts. Par contre, nous pouvons retrouver des sources qui indiquent un bilan mortel de plis de 300 morts.


 Facundo

Parcours Molière

Le matin du 1er octobre nous nous sommes retrouvés face a l’eglise Saint-Eustache pour commencer notre parcours sur la vie de Molière.

Tout d’abord, Jean-Baptiste Poquelin, dit plus tard Molière, a été baptisé ici le 15 janvier 1622, sa date de naissance est inconnue mais on suppose qu’elle a eut lieu entre le 13 et 15 janvier 1622. Cette église a été trés engagée dans l’histoire avec des personnages illustrés ayant ici passé, Louis XIV ayant eu sa première communion.






Ensuite nous sommes passés par la maison d’enfance  de Jean-Baptiste sur la rue Sauval avant nommé “rue des viellies étuves”. Dans cette maison habitaient 10 membres de sa famille. Son destin était déjà écrit: son père étant tapissier engagé aprés par le Roi, Jean Baptiste devait suivre le même chemain que son pére pour aider sa famille car a l’âge de 10 ans sa mère avait décédée et ses petits frères aussi. Mais dès cette âge Jean-Baptiste était très passionné par le théâtre et en 1645 a l’âge de 21 ans, lorsqu'il rencontre Madelaine Bèjart sa copine de jeunesse et adoratrice du théâtre, forment une troupe ensembles avec la famille de Madeleine nommé “l’illustre théâtre”.


Le parcours continue au Palais Royal, actuellement faisant partie du Musée du Louvre. Les comédiens étant rejetés par l’église et Louis XIV aimant la danse et le théâtre, aide beaucoup les comédiens et propose á la troupe de, maintenant Molière de jouer une pièce de théâtre pour lui. Molière joue premièrement un tragédie écrite par lui mais comme c’était pas du tout son fort le roi était décéptionné. Molière insiste donc á jouer une comédie que Louis XIV va adorer. Le roi lui propose donc de former partie de la troupe officielle du roi: “La troupe du roi” en 1665 soutenue économiquement par le roi.

Finalement en 1673, lorsque Molière avait 51 ans , il joue sa dernière pièce au château de Versailles, “Le malade imaginaire”. Après jouer cette pièce il est rapidement renvoyé chez lui á cause de sa grande maladie, il meurt le 17 fevrier 1673. Lors de sa mort, Amande Béjart (fille de Madeleine), la veuve de Molière , lui demande a Louis XIV de réaliser une cérémonie pour son enterrement car l’eglise se refusait.. Sept ans plus tard, lors de la mort des 2 autres chefs de troupe, Louis XIV, décide de renomer et faire une troupe unique nommé “La troupe unique du roi”, et de créer la Comédie Française un théâtre avec une troupe de comédiens stables jusqu’à nos jours.


Dés nos jours, La Comédie Française est un lieu de mémoire du théâtre français et reste toujours la maison de Molière où se trouve son fauteuil où il a joué sa dernière pièce “Le malade imaginaire”



Texte écrit par: Clara Belley et Lola Ortiz
Photos par: Dominique Winograd et Violeta Martinez

jeudi 4 octobre 2018

Cetre de Drancy et Esma

Drancy était un HLM en construction qui n'a pas été terminé. étant vide, les officiers français en ont profités pour le transformer en un camp de détention. Plus de 63 000 juifs français ont été déportés à partir de ce camp. L'une des particularités est qu'il était dirigé par des Français. Aujourd'hui, ce bâtiment est revenu à sa fonction initiale qui est celle d'un bâtiment d'habitation.

Le casino d'officiers de L'ESMA pendant la dictature fonctionnait comme centre de détention pour ceux qui étaient désignés et capturés, puis torturé ou tué par les militaires. Ce centre clandestin était le plus important. ici ont disparus prés de 5000 opposants à la dictature. En 2004, sous la présidence de Neston Kirchmen, cet ancien centre de détention est devenu un musée de la Mémoire en l'honneur des 30000 disparus lors de la dictature.

Lucio Archimede, Arthus Vincent, Julian Fernandez

Recordar para no repetir.

Ante la “bestia“ somos una cosa,
 una carga que odia y destroza.
Six millions de juifs déportées
à cause d'un homme insatisfait

Dans toute la France
mille et mille de souffrances.
No hay una salida,
Solo gente encerrada en la herida

Les enfants juifs cachés,
les parents déportés,
toutes ces familles séparées,
pour être exterminées

                          Renata Jafif et Valentina Puentes Rey

A ciegas - ESMA

A CIEGAS


La palabra que más me marcó fue a ciegas. Ya que todo lo que les sucedía a las personas secuestradas en la ESMA que siempre estaban con los ojos vendados, desde que los secuestraban hasta que los mataban o en el mejor de los casos los liberaban, les sucedía a ciegas. Al tener los ojos vendados no entendían qué estaba pasando, por qué los habían atrapado, con que los estaban torturando, quienes eran sus secuestradores y torturadores, si estaban solos, donde estaban y qué cosas había en donde estaban secuestrados. Muchas de estas inquietudes se iban resolviendo a medida que pasaba el tiempo. El tener los ojos vendados dificultaba la respuesta a estas preguntas, pero se iban resolviendo gracias a sus otros sentidos, que comenzaban a despertarse de a poco, el más útil era la audición ya que con éste, se daban cuenta donde estaban y si estaban solos o no.  
Las mujeres embarazadas  eran tratadas como el resto, no tenían ningún privilegio por el hecho de tener una vida dentro de ellas. No solo eran torturadas e interrogadas, ellas tenían sus partos a ciegas, sin saber quién iba a ser el médico que las iba a atender, quiénes eran las enfermeras, dónde estaban y ni siquiera poder ver a sus hijo/as.
Es escalofriante pensar que siendo capaces  de tener un sentido tan importante como el de la visión, no lo puedas utilizar, te prohíban hacer uso.  Un día sos libre y tenes todos tus sentidos, al día siguiente te los arrebatan como si nada, A CIEGAS...
Dominique Winograd 1ere L

Tortura - ESMA

TORTURA
Elegí la palabra tortura, por distintas razones. En primer lugar, pienso que si cualquierpersona tuviera que describir la ESMA en una sola palabra seria TORTURA, no importaqué tipo de tortura, pienso que la ESMA se define con esa palabra. En segundo lugar,cualquier sensación que sintieron los desaparecidos o torturados, fue una TORTURA, porejemplo el miedo, la oscuridad, el hecho de estar encapuchados sin poder ver nunca,los sonidos, los golpes, los niños robados, los ataques, los robos, el hecho de llamartepor un número, el hecho de estar siempre engrillado, entre otras cosas... Todo lo que pasaron losdesaparecidos fue una TORTURA para ellos. Además, todo los que estuvieron en la ESMA; ya sean jóvenes; ancianos o en algunos casos adolescentes o niños vivieron vivieron la misma TORTURA. Y la gente fuera de la ESMA por ejemplo, madres que perdieron a sus hijos forzosamente sinsaber a donde fueron o abuelas que buscan y siguen buscando a sus nietosdesaparecidos. En tercer lugar, esta palabra te hace pensar verdaderamente en qué tipo de TORTURA se sufría o si se trataba solo de golpes, y te deja impresionado, y te deja pensando...

Violeta Martinez D'Auro, 1ere L

Terror - ESMA

Terror

Elegí esta palabra porque siento que era lo que sentían las personas cuando por ejemplo,
estaban en capucha y capuchita: escuchaban como los prisioneros gritaban al momento de ser torturados. Y cuando ya no había ningún ruido, los demás pensaban en silencio que ellos podrían ser los siguientes en ser torturados.
Siento que esta palabra describe mucho la reacción de las personas: el terror de pensar que no
van a poder ver más a sus seres queridos, el miedo de no saber si van a salir de ahí con vida.

Dafne Latorre 1èreL